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Sécurité au travail : une journée Safety Day chez Cérèsia

La coopérative Cérèsia a proposé des ateliers sécurité, notamment pour faire prendre conscience du danger de certaines situations comme faire deux choses en même temps, ici sur cette photo.

Pour la première fois, Cérèsia organisait une journée Safety Day le 21 mars. Une trentaine d’ateliers étaient proposés pour faire prendre conscience aux collaborateurs de l’importance du facteur humain dans la plupart des accidents.

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« Cela fait suite à une journée où les salariés pouvaient proposer des idées d’amélioration sur différentes thématiques, dont la sécurité au travail, explique Stéphane Leclère, responsable HSE chez Cérèsia. Parmi les propositions figurait l’idée d’un Safety Day. D’autre part, 80 % des accidents sont liés au facteur humain. Améliorer le matériel ne suffit pas ; il faut travailler sur la prise de conscience pour espérer améliorer la sécurité au travail. »

Cinq thématiques

Sur la base du volontariat, près de 200 collaborateurs du groupe, soit plus de 30 % des effectifs du groupe (score honorable selon Fullmark, prestataire de cette journée) ont participé à cette journée ouverte à tous, jeudi 21 mars. Une trentaine d’ateliers étaient proposés, dispatchés sur cinq sites du groupe et animés par les coachs de Fullmark autour de cinq thématiques : l’attention et la distraction, les chutes et les glissades, les neurosciences, la vigilance partagée et la gestion du stress.

« La plupart de nos accidents sont liés à des chutes ou des glissades. Les thématiques « attention-distraction » et « neurosciences » permettaient de faire un focus sur le facteur humain. La vigilance partagée, c’est apprendre à oser dire à un collègue qu’il ne travaille pas de façon sécurisée. Quant à la gestion du stress, elle s’adressait plutôt aux collaborateurs du siège où nous avions identifié des personnes stressées, mais également stressantes. »

Mise en situation

Chaque participant pouvait choisir deux ateliers d’une durée d’une heure et demie. Certains des ateliers s’appuyaient sur des mises en situation pour faire prendre conscience aux salariés de ce qui pouvait les mettre en danger (ne pas tenir la rampe d’escalier, faire deux choses en même temps). D’autres thématiques comme la gestion du stress ou les neurosciences se déroulaient plutôt sous forme de réunions d’information.

« Ce qui était intéressant, c’était de focaliser une demi-journée sur cette thématique au niveau du groupe, conclut Stéphane Leclère. Ça sort de l’ordinaire et donc ça marque les esprits. Nous n’avons pas encore réfléchi à la suite à donner à cette journée. Mais tous les mois, des communications sont réalisées par mail afin de parler sécurité régulièrement. »

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