Le Gouessant sort une saga sur ses administrateurs

Un portrait d’administrateur tous les quinze jours, c’est ce que prévoit Le Gouessant pour sa nouvelle saga de l’été. « L’objectif est de valoriser les hommes à la manœuvre de la coopérative, mais aussi d’expliquer le modèle coopératif à ceux qui ne sont pas du milieu, explique Pauline Le Cabellec, chargée de communication chez Le Gouessant. Parmi nos 11 800 abonnés sur LinkedIn, nous n’avons pas que des personnes du monde agricole, donc c’est aussi de la pédagogie. »

Chaque publication comprendra trois visuels. Dans le premier, l’administrateur du jour explique son envie de rejoindre le conseil d’administration. « Nous sommes convaincus des atouts de notre modèle coopératif qui ne peut exister sans ses adhérents, ni sans ses administrateurs, c’était donc important de leur donner la parole et de les laisser expliquer pourquoi ils ont voulu rejoindre notre conseil d’administration », ajoute-t-elle. Dans le deuxième visuel, l’administrateur parle de son métier, tandis que le troisième prend la forme d’un « Le saviez-vous ? ».

3 portraits à venir

C’est Vincent Forget, fraîchement élu administrateur de la coopérative Le Gouessant et éleveurs de vaches laitières, qui a ouvert le bal. Pour lui, rejoindre le rang des administrateurs est une manière de « représenter son territoire, l’Ille-et-Vilaine, de réfléchir aux enjeux de la filière et de participer aux choix stratégiques ».

Prochainement, la toile fera connaissance avec David Revault, éleveur de porc dans les Côtes-d’Armor, lequel est devenu administrateur afin de « découvrir les autres filières, réfléchir à leur avenir et aux projets d’investissements ». Dans « Le saviez-vous ? », la coopérative explique le fonctionnement du conseil d’administration.

Les deux autres portraits seront celui de Sandra Puel, éleveuse de poulettes et productrice de céréales et de légumes, et celui d’Anthony Taoc, éleveur de dindes et producteur de céréales. « Au travers de ces différents profils, nous avons voulu représenter chaque filière », précise Pauline Le Cabellec.