Des nouvelles de Port-La Nouvelle
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Les vacances réservent parfois leur lot de rencontres impromptues. Souvent par l’entremise de nos chères têtes blondes qui se lient facilement le temps d’une construction de château de sable. Et me voilà, par une fin d’après-midi sur une plage languedocienne, à discuter le bout de gras (aïe… les quelques kilos en trop à la suite du confinement) avec le responsable d’exploitation d’une coop du Sud-Ouest. En passant en revue les potins du moment dans la région, et surtout en se désolant des très mauvaises récoltes. À l’instar d’Arterris, qui enregistre la pire moisson de son histoire. Le silo de Port-La Nouvelle qui, au loin, toisait nos échanges, ne devrait pas voir passer beaucoup de marchandises cette année… Cela n’empêche pas le premier port céréalier français en Méditerranée de poursuivre ses travaux pour augmenter son tirant d’eau de 8 à 14,50 mètres en vue de consolider son trafic.
Renaud Fourreaux, rédacteur en chef adjointPour accéder à l'ensembles nos offres :