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Centre  Le laboratoire CGAC de la Scael propose des formations

Avec du matériel flambant neuf, le CGAC, laboratoire appartenant au groupe Scael, propose, entre autres, une formation sur la panification d'essais. © SCAEL Avec du matériel flambant neuf, le CGAC, laboratoire appartenant au groupe Scael, propose, entre autres, une formation sur la panification d'essais. © SCAEL

A l'occasion de ses quarante ans, fêtés en octobre, le laboratoire d'analyses céréalières, filiale du groupe Scael, présente sa nouvelle activité : la formation.

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Le laboratoire CGAC fête ses quarante ans et n'a pas pris une ride. Bien au contraire ! Il multiplie les nouvel­les activités. Spécialisé dans les analyses de céréales et de farine, le CGAC, filiale du groupe coopératif Scael, a vu son chiffre d'affaires bondir de 45 % en dix ans pour atteindre 800 000 euros en 2015. « Nous essayons de trouver une nouvelle source de développement chaque année », souligne Vincent Jeuffroy, responsable du laboratoire.

Trois jours de stages, trois thèmes

Après le développement de la micropanification avec les sélectionneurs en 2015, le CGAC se lance dans la formation. Installé à Chartres depuis son déménagement de Gallardon (Eure-et-Loir) en 2013, le laboratoire propose trois journées de stage, sur trois thèmes : la panification d'essai, la qualité des céréales et la détermination du pourcentage d'impuretés dans les céréales. Ces formations s'adressent aux exportateurs, aux organismes stockeurs ou aux entreprises de l'agroalimentaire.

Du sur-mesure et une pédagogie très participative

Le laboratoire chartrain s'appuie sur le centre de formation du laboratoire Microsept, autre laboratoire du groupe. Cette offre « métier du grain » complète la quarantaine de formations déjà proposées. « Nos formations sont réalisées sur mesure, en nous fondant sur une pédagogie très participative. Les stagiaires réalisent eux-mêmes les analyses ou des micropanifications », ajoute Vincent Jeuffroy, qui est également le formateur.

En 2015, le CGAC a analysé environ 17 000 échantillons. Pour cette année, avec la crise céréalière, il prévoit­ une baisse de 10 % du nombre d'analyses. Il compte environ 400 clients et emploie 10 salariés.

Aude Richard

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