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Sud-Est Le réseau Agrosud en mode connecté

Jean-Paul Palancade a annoncé un chiffre d'affaires de 225 millions d'euros en 2015, avec un périmètre en évolution. © M. COISNE Jean-Paul Palancade a annoncé un chiffre d'affaires de 225 millions d'euros en 2015, avec un périmètre en évolution. © M. COISNE

Le réseau de négociants à choisi un thème high-tech pour son congrès annuel, qui s'est tenu le 22 octobre à La Grande-Motte (Hérault) : les TIC, technologies de l'information et de la communication.

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Les technologies de l'information et de la communication, plus communément appelées TIC, « c'est une révo­lu­tion qui ne touche pas que l'agriculture, les taxis sont touchés, ou encore l'hôtellerie. Ce matin, nous allons faire un état des lieux du sujet, et aussi démystifier ce que sont les TIC », a déclaré Jean-Paul Palancade­, à la tête du réseau Agrosud, lors de l'ouverture du 17e congrès annuel, le 22 octobre à La Grande-Motte, au sud-est de Montpellier.225 millions d'euros de chiffre d'affaires 2015Côté actualité du réseau, c'était le premier congrès du négoce Payre, basé à Moirans (Isère), qui a rejoint Agrosud cette année. « Aujourd'hui, Agrosud, c'est 517 personnes, dont 159 CAP (conseiller agronomique préconisateur) », précise Jean-Paul Palancade. Pour un chiffre d'affaires de 225 millions d'euros.Quant aux TIC, se sont succédé au pupitre des spécialistes du sujet : Bruno Tisseyre, de Montpellier SupAgro­, Ludovic Vimond du groupe Réussir, Sébastien Labails des Vignerons de Buzet, Bastien Hennequez­, agriculteur dans l'Eure, Eric Stoecklin, de NewFarm Agriconsult, et Léo Pichon, lui-aussi de Montpellier SupAgro. Pour traiter des sujets allant du GPS au drone (toujours appliqués à l'agriculture) en passant par les robots, les tracteurs sans conducteur, sans oublier la réglementation.« C'est inéluctable »En clôture, Bruno Tisseyre a donné le cap : « La question, ce n'est pas est-ce qu'on y va, mais comment on y va ? On peut s'y opposer mais c'est inéluctable. » Jean-Paul Palancade a rappelé l'importance du conseiller : « Il reste central, c'est lui qui pilote. L'homme est au centre, et après on y greffe des outils. »

Marion Coisne

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