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Bourgogne Franche-Comté Val Union BFC Semences est née

Une des trois stations de semences de la nouvelle structure Val Union BFC Semences, située à Bèze (Côte-d'Or). Une des trois stations de semences de la nouvelle structure Val Union BFC Semences, située à Bèze (Côte-d'Or).

Après un an de mise en place, les unions de coopératives Val Union et BFC Semences concrétisent leur fusion.

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Si leur rapprochement est opérationnel depuis un an, les deux unions de coopératives, BFC Semences et Val Union, viennent juste d'officialiser leur fusion par la création de Val Union BFC Semences, avec effet rétroactif au 1er juillet 2014.

La nouvelle structure est présidée par Jean-Louis Baudard (ex-président de Val Union et adhérent d'Interval). Le directeur général de Bourgogne du Sud, Michel Duvernois, assure la direction stratégique et Marc Grangeot, responsable semences de Dijon céréales, est en charge de la direction opérationnelle.

Rebondir sur la fermeture du site de Ciel

BFC Semences réunissait Bourgogne du Sud, Dijon céréales, Interval, Terre Comtoise et 110 Bourgogne autour de deux stations de semences toutes espèces, en Côte-d'Or, à Bèze et à Genlis. Quant à Val Union, elle était détenue par Bourgogne du Sud, Dijon céréales et Interval et était orientée vers le développement des cultures légumières en Bourgogne et Franche-Comté.

La fermeture de son site industriel de Ciel en Saône-et-Loire en 2013, qui produisait pour d'aucy (Cecab) a conduit les dirigeants de l'union à la reconvertir à la production de semences de maïs. L'ensemble de ces coopératives se retrouvent donc dans la nouvelle union.

8 000 ha de production de semences

Cette fusion joue donc sur la complémentarité des activités de ces unions pour développer la multiplication de semences de céréales à paille et de maïs, d'oléoprotéagineux et de fourragères sur les régions de Bourgogne et de Franche-Comté.

Val Union BFC Semences va gérer 8 000 hectares de multiplication dont 3 500 hectares de blé, 1 700 hectares d'orge, 800 hectares de soja et 750 hectares de maïs. Des essais de production sont en cours en colza et tournesol. Elle emploie 17 salariés et jusqu'à 60 saisonniers en période de pointe.

Hélène Laurandel

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