Océalia « La promesse de Bioline Insurance est tenue »
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Première campagne avec l’offre Bioline Insurance pour Océalia, et premiers éléments de satisfaction. « On est sur une offre assez compétitive, le coût est équivalent à ce qui se fait sur le marché, mais avec des taux de franchise à 10 %, présente Emmanuel Séné, responsable du service AgriSolutions chez Océalia. Nous l’avons adossée à une offre de collecte, en considérant que c’était le plus cohérent puisqu’on assure un rendement. »
« Rien que sur les deux mois de novembre-décembre, 8 400 ha ont été souscrits et plus de la moitié des conseillers d’exploitation se sont impliqués dans la démarche », abonde Thomas Perrier, chef de projet au service AgriSolutions. « Et encore, ajoute Emmanuel Séné, il y avait des agriculteurs déjà engagés, des adhérents que nous sommes venus voir un peu tard, d’autres qui ont besoin de temps… » Pour la suite, Océalia est résolument optimiste : selon une enquête interne menée auprès de ses conseillers d’exploitation, la coopérative prévoit de développer de manière significative les surfaces engagées pour la récolte 2020, au moins de les doubler. Pour cela, des réunions ont été organisées en amont dès cet été, les conseillers vont donc pouvoir présenter l’offre plus tôt, dès septembre.
Par ailleurs, les suivis de sinistres semblent bien fonctionner. « Nous avons de bons retours terrain de la part des agriculteurs alors qu’on est plutôt sur une campagne à aléas climatiques, témoigne Emmanuel Séné. Le pôle d’expertises rappelle dans les 48 heures pour fixer un rendez-vous, puis une deuxième visite est programmée, plus proche de la moisson, en juin, afin de consolider l’expertise et générer l’indemnisation. On attendait Bioline là-dessus, et la promesse est tenue. »
« D’une part, on a vraiment l’impression de répondre à une attente des adhérents, et d’autre part, les conseillers d’exploitation sont satisfaits de l’offre à présenter qui se distingue par sa simplicité », résume Thomas Perrier. Bref, Océalia ne regrette pas son ancienne garantie chiffre d’affaires qu’elle a proposée pendant trois ans. « Ce n’était pas le même périmètre, la couverture était plus large, elle comprenait les risques prix et rendement, et les coûts d’accès étaient plus importants pour les adhérents, compare Emmanuel Séné. Résultat : 3 000 ha avaient été couverts, au mieux, avec de forts investissements pour créer l’offre et accompagner l’équipe. Mais au moins, ça a permis à nos équipes d’appréhender ce sujet. »
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