Le 23 février, quatre députés, Grégory Besson-Moreau (LREM), Jean-Baptiste Moreau (LREM), Jérôme Nury (LR) et Dominique Potier (PS), ont rendu leurs conclusions sur la mise en œuvre de la loi EGalim 1 (1). Sur la séparation, leur verdict est sans appel : « S’il est trop tôt pour revenir sur le principe de la séparation du conseil et de la vente des produits phytopharmaceutiques, il est nécessaire de travailler rapidement à la correction de ses effets de bord. » Des problématiques qui font écho à celles soulevées par les professionnels. Les quatre élus, comme ceux de la mission sur les coopératives agricoles, appellent de leurs vœux la création d’une mission d’information parlementaire sur la séparation pour faire un bilan plus complet.
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Conseil agricole : un écosystème en ébullition Dossier Les dysfonctionnements de la séparation à corriger

Plus d’un an après sa mise en place, professionnels et députés signalent des effets de bord de la séparation conseil et vente phytos. Le point sur trois problématiques, avec des éléments de réponse du ministère de l’Agriculture.
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