InVivo ouvre sa tribu sur Welcome to the Jungle

La Digital Factory, créée pour piloter et exécuter la transformation digitale au sein d’InVivo et de ses filiales et des coopératives sociétaires, a soufflé sa première bougie en septembre dernier. Pour accompagner son développement, elle a besoin d’étoffer ses équipes : actuellement, une dizaine de postes sont à pourvoir, avec des profils très tournés vers le digital.

Nouveaux profils, nouveau support

« C’est différent des autres métiers de Bioline, fait part Aurélie Thomas, Talent Acquisition Manager pour Bioline by InVivo et la Digital Factory. Ce sont des profils plus difficiles à capter. » Pour s’ouvrir à ce monde digital et start-up, la Digital Factory s’est tournée vers un nouveau support, Welcome to the Jungle. Il vient compléter les jobboards plus classiques que sont Cadremploi, RégionsJob, ou encore l’Apec. « Nous avons aussi créé une page LinkedIn Digital Factory, et un compte Twitter est en cours de création », ajoute Aurélie Thomas. Le site institutionnel d’InVivo est un autre relais.

Une jeune plateforme de recrutement

Welcome to the Jungle est une jeune plateforme de recrutement et de création de contenus. Chaque employeur y a sa page, un peu comme un réseau social, avec des interviews de collaborateurs. Dans le cas de la Digital Factory, des vidéos de Stéphane Marcel, directeur général d’InVivo Digital Factory, et d’Audric Chauveau, product manager et premier recruté, sont notamment disponibles. L’idée étant de permettre au postulant de trouver la meilleure « tribu ». « Welcome to the Jungle est ouvert sur le monde des start-up », analyse Aurélie Thomas, un atout pour trouver des profils tournés vers le digital.

Attirer les talents dans le monde agricole

La Digital Factory veut développer sa notoriété, pour séduire des profils très demandés. Par exemple, « nous recherchons un Lead DevOps, qui connaisse le développement avec des compétences managériales, indique Aurélie Thomas. C’est un poste en tension sur le marché, qui n’existe que depuis une dizaine d’années. En outre, beaucoup travaillent en freelance, et nous avons besoin d’internaliser. »

Autre besoin : un Product Owner, destiné à faire le lien entre l’informatique et les besoins des clients. Il doit avoir un profil digital avec une très bonne connaissance du monde agricole, ce qui en fait une perle rare. « C’est un métier encore nouveau, dans le milieu les profils sont rares », explique Aurélie Thomas. La responsable RH fait face à deux défis : trouver des experts en digital dans le milieu agricole, et attirer des profils généralistes très demandés dans une entreprise agricole. « Ce n’est pas évident de les attirer, mais ensuite, nous avons très peu de déperdition, les gens sont intéressés. »