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Terrena inaugure le nouvel abattoir d’Ancenis

Inauguré vendredi14 avril, le nouvel abattoir d’Ancenis (Loire-Atlantique) de Galliance occupe 18 000 m². Il a été construit à proximité de l’ancien, datant de 1970, et à quelques centaines de mètres du siège social de Terrena.

Galliance, le pôle volailles de Terrena, a investi 45 M€ dans cet outil dédié aux volailles AB, label rouge et Nouvelle Agriculture, et inauguré vendredi 14 avril à Ancenis (Loire-Atlantique).

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« Dans un contexte de grippe aviaire, cet abattoir est un vrai gage de confiance en l’avenir ! Il donne de la visibilité à nos adhérents et intègre les meilleures techniques disponibles en matière de bien-être animal », a expliqué vendredi 14 avril, en conférence de presse, Dominique Grasset, président de Galliance, le pôle Volailles de Terrena.

© A. MABIRE - « L’abattoir d’Ancenis est complémentaire de celui de Nueil-les-Aubiers (Deux-Sèvres), où nous travaillons des volailles standard », présentent Dominique Grasset et Arnaud Poupard-Lafarge, respectivement président et DG de Galliance (de g. à dr.).

550 000 volailles par semaine

Inauguré ce même jour, le nouvel abattoir d’Ancenis (Loire-Atlantique) occupe 18 000 m². Il a été construit à proximité de l’ancien, datant de 1970, et à quelques centaines de mètres du siège social de Terrena. « Nous avons démarré l’activité en septembre 2022, précise Arnaud Poupart-Lafarge, directeur général de Galliance. Ce site est dédié aux productions AB, label rouge et Nouvelle Agriculture, qui représentent 20 % de notre activité. À pleine capacité, il pourra travailler 550 000 volailles par semaine. »

Un investissement de 45 M€

En surplomb du marais de Grée, l’abattoir a représenté un investissement de 45 M€ (43 M€ initialement prévus), réparti sur deux ans. Il a été conçu avec l’appui, notamment, de l’Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoir (OABA) pour une attention renforcée sur le transport des volailles, leur réception et leur mode d’étourdissement. En particulier, le quai d’attente est désormais à l’intérieur des bâtiments, noyé dans une lumière bleue.

© A. MABIRE - Dans ce nouveau site, où la volaille ne sera touchée que deuxfois entre l'accrochage et la mise en barquette, le temps de process est ramené à 6 heures (contre 24 précédemment).

Quant à l’étourdissement, il se fait aujourd’hui par raréfaction d’oxygène et plus par décharge électrique. Autant de techniques « qui permettront à Galliance de commercialiser des produits répondant au référentiel de l’European Chicken Commitment », pointe Arnaud Poupart-Lafarge.

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