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Delivagri perfectionne ses solutions digitales

« Avec ce système d’alertes, l’agriculteur peut construire une stratégie commerciale sur l’année », a expliqué Quentin de Chabot (ici au centre, entouré de son équipe), directeur général de Delivagri, mercredi 14 juin, aux Culturales.

Le négociant en ligne Delivagri, qui opère depuis Angers (Maine-et-Loire), a profité des Culturales, les 14 et 15 juin, pour présenter son nouveau système d’alertes « Prix objectif ».

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« Ce dispositif d’alertes participe à renforcer l’indépendance des agriculteurs dans leur ventes de céréales et leurs achats d'approvisionnements », a souligné, mercredi 14 juin, depuis les Culturales où l’entreprise exposait, Quentin de Chabot, directeur général de Delivagri. Basé à Angers (Maine-et-Loire), Delivagri est un négoce 100 % digital. Très active sur le marché des engrais et amendements organiques, sa base historique, l’entreprise commercialise également des céréales.

Alertes par mail ou SMS

Concrètement, ce système d’alertes « Prix objectif » est accessible via le site internet ou l’application mobile Delivagri. Pour l’activer, les utilisateurs doivent se rendre sur la page du produit qu’ils veulent acheter (ou vendre). Là, ils renseignent, pour une adresse de livraison ou de chargement donnée, le prix souhaité. Lorsque celui-ci est atteint, ils sont prévenus par e-mail ou SMS.

« Ce service peut être utilisé ponctuellement mais il permet aussi de construire une stratégie de commercialisation sur l’année », relève Quentin de Chabot.

Contre-performance sur le marché des céréales

Avec ce nouveau service, Delivagri prolonge et surtout entend dynamiser sa stratégie de digitalisation. L’an dernier, sur le marché des céréales, qui concentre aujourd’hui les ambitions de la start-up, elle n’a pas donné les résultats espérés. « Le nombre de prospects a augmenté mais le passage à l’acte d’achat est resté difficile », explique Quentin de Chabot qui pointe également des retards de recrutements pour expliquer la contre-performance enregistrée : 75 000 tonnes commercialisées pour un objectif à 120 000 tonnes.

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