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Le négoce Sansan explique son métier

Après avoir ouvert l’été dernier ses portes à des vacanciers, le négoce Sansan compte bien continuer sur cette lancée tout en envisageant de nouvelles initiatives.

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Trois groupes d’une quinzaine de vacanciers, accueillis dans une Maison familiale voisine (un club de vacances vertes), sont allés découvrir en juillet et août derniers les coulisses du métier de négoce agricole sur un des sites de l’entreprise Sansan, dans le Lot-et-Garonne. « Le directeur de cette maison familiale est venu un jour frapper à notre porte pour que nous expliquions notre activité à des groupes de vacanciers curieux de l’agriculture. Il passe régulièrement devant nos installations et se demandait quelles activités s’y tenaient », relate Corinne Sansan, assistante de direction et responsable qualité du négoce. Son frère Alain, PDG de l’entreprise, a pris alors à cœur cette initiative, organisant une présentation qui déroule le quotidien du négoce sur une année. « Tout a été passé en revue : la préparation des assolements, les commandes, le suivi du technico-commercial tout au long des saisons, la récolte, la conservation des grains, les débouchés… »

Aller à la rencontre des écoles

Pour que la démarche soit au maximum pédagogique, Alain Sansan avait préparé des sachets de grains de différentes espèces. Il s’est fait assister de Sarah, jeune ingénieure de Purpan en contrat professionnel dans l’entreprise et qui suit les groupes 30 000. « Elle a abordé nos certifications CSA GTP, 2BSvs, agrément phyto, bio, nos démarches RSE, HVE et Groupe 30 000. » Les visiteurs ont été intéressés et surpris par tous les métiers au sein de l’entreprise. Une expérience jugée positive par Corinne Sansan qui espère pouvoir la reconduire l’an prochain et entreprendre d’autres initiatives pour mieux faire valoir l’activité de l’entreprise. « Notre métier est très mal connu. Nous souhaitons être plus proactifs et aller, par exemple, à la rencontre des enfants des écoles primaires pour parler de nos métiers. Nous le faisons déjà quelque peu dans les lycées agricoles. »

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