S’il a toujours existé, le stockage à la ferme continue de se développer avec, en ligne de mire, la captation de valeur et l’amélioration de l’autonomie commerciale des exploitations. L’agrandissement des surfaces est un des moteurs de cette évolution, les producteurs s’organisant face à l’accélération de leurs débits de chantier en évitant de mobiliser conducteurs et matériels au plus fort de la moisson, réduisant ainsi pression de main-d’œuvre et coût au premier kilomètre. Côté organisme stockeur, le stockage à la ferme évite également de déplacer des volumes d’un silo à un autre dans la précipitation à la moisson. Ce lissage des flux est un avantage logistique incontestable pour les OS, et cela avant même la rationalisation de leurs parcs silos.

La moitié des producteurs de céréales sont aujourd’hui équipés pour stocker leurs grains, et 8 % envisagent d’investir d’ici l’année prochaine, nous enseigne notre enquête ADquation.
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