Après trois campagnes de faibles prix, 2019-2020 est franchement mieux orientée pour le blé dur à la suite d’une mauvaise récolte mondiale en quantité et en qualité. La marchandise française, liquide et de très bonne qualité semoulière, a pu bénéficier de courants d’affaires jusque-là. « Il y a eu une telle incertitude sur la qualité du blé dur canadien que certains acheteurs se sont sécurisés précocement », relate Nicolas Prévost, directeur commercial de Durum (Axéréal/Arterris). Dommage que les volumes ne soient pas au rendez-vous, malgré le plan de relance de la filière il y a cinq ans. Et à nouveau, quelle campagne qui s’annonce ! Au 29 janvier, il restait 30 000 ha à semer, 20 000 ha rien que dans la région Ouest-Océan.
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Le blé dur au fond du trou
Alors que les cours du blé dur se sont nettement raffermis depuis cet automne, ce sont les conditions climatiques très humides lors de la saison automne-hiver qui empêchent cette fois-ci une remontée des surfaces. La filière ne parvient pas à rebondir.
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