«C’est pire que l’année dernière, on va encore perdre 20 % de surfaces », se désole un OS du centre de la France. Pour la deuxième fois consécutive, la sole française de colza est affectée par de très mauvaises conditions d’implantation : une sécheresse tardive, suivie d’une séquence pluvieuse qui n’en finit plus cette année. Selon les estimations d’Agreste en décembre, « la sole de colza d’hiver baisserait de 4,9 % sur un an et de 26,8 % par rapport à la moyenne 2015-2019 pour s’établir à 1,05 Mha, au plus bas depuis 2002 ».

Cela fait deux automnes de suite que les semis de colza se passent mal dans l’Hexagone. C’est fâcheux, d’autant que les cours se portent bien et que les industriels sont demandeurs d’une graine origine France.
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