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Moisson d’été Deux salles, deux ambiances

J.-M. NOSSANT
J.-M. NOSSANT

Historiquement précoce, la moisson d’été a déçu au Sud et s’est révélée plutôt de bonne facture au nord de la Loire, au regard des conditions climatiques adverses du printemps. Mais elle cache de fortes disparités en rendement comme en qualité.Par Renaud Fourreaux

D’un point de vue logistique, au vu de la belle fenêtre météo estivale, les moissons, historiquement précoces, se sont déroulées de façon optimale. Elles sont néanmoins caractérisées par une grande hétérogénéité dans les rendements due à une succession d’évènements climatiques pénalisants (sécheresse, fortes chaleurs, épisodes de gel et de grêle). Par exemple, chez Axéréal, ils oscillent selon les zones entre 65 et 85 q/ha en orge, 40 et 100 q/ha en blé tendre, et 50 et 85 q/ha en blé dur.

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