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Export de blé : changement imminent du cahier des charges algérien

Thierry de Boussac, trading manager chez Lecureur, et membre du Synacomex, estime néanmoins que le blé français garde l’avantage en Algérie.
Thierry de Boussac, trading manager chez Lecureur, et membre du Synacomex, estime néanmoins que le blé français garde l’avantage en Algérie.

Thierry de Boussac, trading manager chez Lecureur, et représentant le Synacomex au conseil spécialisé céréales de FranceAgriMer, a annoncé le 16 septembre, s’attendre à une modification du cahier des charges de l’office algérien d’achat des blés, sans doute dès le prochain appel d’offres.

Cela fait deux campagnes qu’une épée de Damoclès plane sur les exportations de blé français vers l’Algérie. Mais cette fois-ci, Alger semble avoir fait le grand saut. « On attend un changement du cahier des charges algérien pour le prochain tender (NDLR : appel d’offres) qui devrait arriver courant septembre », a lâché Thierry de Boussac, trading manager chez Lecureur et représentant le Synacomex (syndicat national du commerce extérieur des céréales) au conseil spécialisé céréales de FranceAgriMer qui tenait sa conférence de presse mensuelle le 16 septembre.

Une ouverture de fait au blé russe

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