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Pour l’UFS, il ne faut pas restreindre le crédit d’impôt recherche

Claude Tabel, nouveau président de l’UFS, aimerait que l’État soit proactif en matière de promotion de l’innovation en agriculture, en particulier en ce qui concerne la sélection variétale. © B. CAILLIEZ
Claude Tabel, nouveau président de l’UFS, aimerait que l’État soit proactif en matière de promotion de l’innovation en agriculture, en particulier en ce qui concerne la sélection variétale. © B. CAILLIEZ

Projet de baisse du crédit d’impôt recherche, cadre réglementaire non adapté aux méthodes récentes de sélection, l’Union française des semenciers, qui a tenu son AG les 5 et 6 novembre à Paris, craint pour l’avenir de l’innovation en matière de sélection variétale. Un atout pourtant majeur dans la transition agroécologique.

« Dans le cadre des débats relatifs au projet de loi de finances, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a annoncé en septembre qu’il allait baisser le plafonnement des dépenses de recherche éligibles au crédit d’impôt recherche (CIR) », regrettent les semenciers français réunis au sein de l’UFS, qui fête cette année ses dix ans.

Une insécurité juridique et économique

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