C'est une filière sinistrée que celle des engrais au sortir de l'été. Faute de commandes qui n'arrivent pas ou tardent à arriver, « des usines importantes sont à l'arrêt, et cela concerne aussi bien des grosses que des petites entreprises », s'alarme Thierry Loyer, président de l'Unifa. Même si on peut penser que le contexte sera moins difficile à supporter pour des multinationales que pour des entreprises strictement dépendantes du marché français. « C'est inquiétant car on rentre dans la période où normalement on prépare les livraisons de NPK. Quasiment rien n'a été livré en PK depuis le mois de juin. » Un quart de l'année est déjà perdu...
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Les industriels chahutés
Les entreprises subissent de plein fouet le ralentissement des commandes. Certaines font le dos rond, d'autres sont contraintes d'effectuer des « maintenances prolongées ».
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