La dynamique de la nutrition animale est naturellement liée à celle des productions animales. Ce constat avait été particulièrement dur en 2016 avec la crise laitière, l'influenza aviaire et les difficultés de la filière porcine. « La France se cherche encore sur des marchés qui ne semblent pas toujours durables même si les productions animales vont moins mal. L'érosion se poursuit mais, heureusement, 2017 a été moins mauvaise que 2016 », résume Jean-Luc Cade, président de Coop de France Nutrition animale.
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Les fabricants reprennent pied

L'année 2017 ne rattrape pas l'année noire de 2016, mais la baisse des tonnages en alimentation animale se calme. Aucune euphorie du côté des fabricants, mais un peu plus de sérénité, qui ne voile pas cependant le décrochage de la France sur le marché européen.
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