" L'azote mérite d'être réhabilité. " C'est bien là pour cette rentrée le nouveau leitmotiv de l'Unifa, l'union des industries de la fertilisation, après la salve d'attaques essuyée par l'azote cette année. Tour à tour, il a été à tort ou à raison jugé coupable des marées d'algues vertes, du réchauffement climatique, de la pollution de l'eau, de maladies, de mortalité prématurée, et donc aussi responsable des dépenses induites par ces pollutions sur l'environnement et la santé… Dans ce contexte, le procès en appel de l'explosion de l'usine AZF de Toulouse n'arrive pas à point nommé (lire encadré).
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Redorer le blason de l'azote français
Dans un marché en croissance soutenue durant la campagne passée, l'approvisionnement franco-français en engrais azotés minéraux est à la peine et passe sous la barre des 40 %. L'industrie française craint pour sa compétitivité. D'autant qu'en France, l'image de l'azote s'est encore dégradée cette année.
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