Contenu réservé

Accompagner les nouvelles exigences du terrain

Vivescia et le réseau Biodiversité pour les abeilles, avec BASF Agro et le syndicat apicole de l'Aube, ont lancé une expérimentation pour mesurer l'impact de la pollinisation assurée par les abeilles sur les rendements du colza.
Vivescia et le réseau Biodiversité pour les abeilles, avec BASF Agro et le syndicat apicole de l'Aube, ont lancé une expérimentation pour mesurer l'impact de la pollinisation assurée par les abeilles sur les rendements du colza.

Entre restructurations et expertises pointues, les métiers de la distribution et de l'agriculture évoluent, et avec eux les attentes vis-à-vis des firmes phytos.

«En 2008, 75 % du marché de la protection des cultures était couvert par vingt-six centrales d'achat. Aujourd'hui, elles ne sont plus que huit. » C'est le constat dressé par Olivier Antonin, directeur commercial chez De Sangosse, qui illustre bien la tendance dans le secteur de la distribution. « La négociation centralisée s'est fortement développée ces derniers dix-huit mois. Les acheteurs de ces grosses centrales, selon les structures, sont plus ou moins distants de la mise en marché des produits. Ils s'appuient sur de nombreux relais marketing et techniques, qui travaillent au sein des structures coops et négoces que la centrale d'achat représente. Afin de prendre les bonnes décisions concernant les solutions que nous leur offrons, les décideurs sont donc nourris par plusieurs flux d'information remontant des diverses structures en région. C'est dans cette nécessité de présenter des offres cohérentes à tous les niveaux de l'organisation du distributeur, dans un timing imposé par lui, afin qu'elles soient référencées, que notre métier est en train de changer, analyse Olivier Couery, directeur commercial chez DuPont. Mais in fine, pourDuPont, il s'agit toujours de proposer aux distributeurs français des solutions innovantes, adaptées aux besoins des producteurs, dans un contexte règlementaire de plus en plus exigeant. » « Il faut gérer cette double complexité », résume Jean-Marc Petat, directeur communication et agriculture durable de BASF Agro. Toutefois, cette évolution du marché nécessite quelques adaptations du côté des fournisseurs.

Préserver la proximité client

1429

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
17 %

Vous avez lu 17 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue
Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre