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Quand le rejet fait place à la curiosité

L'agrochimie semble mieux reconnue pour son utilité dans la chaîne de production alimentaire, tout comme les efforts du secteur pour améliorer les pratiques.

C'était il y a un an, en novembre 2008, à l'Assemblée nationale : le collectif « Sauvons les fruits et légumes » sensibilisait élus et médias sur les risques que la disparition de solutions agrochimiques fait courir aux filières agricoles, fruits et légumes en tête. Les messages ont été largement relayés dans la presse grand public et des reportages de télévision ont montré des producteurs démunis, sans moyen de lutte contre divers pathogènes. Il semblait alors, tout à coup, que les méchants soient devenus les mouches du chou ou la moniliose de l'abricot, plutôt que les pesticides à qui on donnait presque le bon dieu sans confession. Quelques années plus tôt, des pamphlets contre les produits phytosanitaires avaient tout autant été médiatisés, écrits et diffusés sous la houlette du lobby antipesticides français, le MDRGF (Mouvement pour le droit et le respect des générations futures). Le livre « Pesticides : révélation sur un scandale français » tirait ainsi à boulets rouges sur toute la filière d'homologation et de production des phytos.

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