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ALIMENTATION ANIMALE Pousséedes segmentsalternatifs

Biosécurité, bien-être, non OGM, bio... Les sujets ne manquent pas pour une industrie française aux volumes qui stagnent, soumise à une pression sur les prix difficile à répercuter jusqu'à l'aval des filières. Une année de ruptures pour le monde de la nutrition animale.

L'année 2018 fut marquante en volaille, notamment avec la reprise de Doux par le consortium conduit par LDC, ou encore la cession de Neovia par InVivo à l'américain ADM. Ce sera aussi l'année de l'implémentation concrète sur le terrain du système Inra de formulation des aliments pour ruminants, Systali, qui modifie profondément les pratiques. L'année climatique, avec un printemps pluvieux suivi d'une très forte sécheresse, bouleverse quant à elle les trésoreries. Viennent aussi en haut de la liste des préoccupations des fabricants d'aliments, les questions de biosécurité avec le risque de la peste porcine africaine (PPA) installée en Belgique. La crainte porte en particulier sur les exportations vers la Chine, celle-ci ne reconnaissant toujours pas la notion de régionalisation. Tout cela sur fond de bien-être animal, d'extrémisme végan et de nouvelle loi sur l'alimentation, qui amorce une montée en gamme incluse dans les plans de filières édités à l'issue des États généraux de l'alimentation. Elle se traduit par la montée du bio et du non-OGM.

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