« Des champignons microscopiques qui vivent en symbiose avec les racines des plantes peuvent grâce à la formation dans le sol d'une quantité importante de mycelium qu'on appelle arbuscules, capter des molécules de phosphore, azote ou zinc que les racines ne peuvent pas capter », explique Guillaume Bécard du LRSV, laboratoire de recherche en sciences végétales du CNRS et de l'université Paul Sabatier de Toulouse.
Les chercheurs du CNRS et l'université de Toulouse travaillent sur la mycorhization des racines et le criblage haut débit de substances naturelles pour nourrir et protéger les plantes.
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