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INSECTICIDES VIGNE La fin des néonicotinoïdes

Pierre-Antoine Lardier, de BASF, confirme l'intérêt grandissant des viticulteurs pour la confusion sexuelle : « Ils apprennent à s'en servir. »CLAUDIUS THIRIET
Pierre-Antoine Lardier, de BASF, confirme l'intérêt grandissant des viticulteurs pour la confusion sexuelle : « Ils apprennent à s'en servir. »CLAUDIUS THIRIET

La montée du biocontrôle et le retrait définitif des néonicotinoïdes redistribuent les cartes.

Les premières estimations communiquées par Belchim pointent une hausse de 3 % des hectares déployés en insecticides en 2018, même si les conditions climatiques, pluie au début puis fortes chaleurs, ont limité le développement des tordeuses (assez faible en G1 et hétérogène en G2 et G3). David Pinson, de FMC, note tout de même « une progression de la confusion par rapport à 2017 ». Pierre-Antoine Lardier, de BASF, signale que « Rak reste leader de la lutte par confusion avec près de 60 000 ha » et confirme l'intérêt des viticulteurs pour ces produits. D'autres solutions de biocontrôle sont également disponibles contre les vers de la grappe. Xentari et Dipel DF de Philagro, à base de Bacillus thurengiensis, sont « en plein développement grâce aux fiches actions permettant de collecter des CEPP », explique Amandine Miquel. Et les trichogrammes de Bioline AgroSciences, Tricholine vitis, sont officiellement arrivés sur le marché.

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