La forte pression parasitaire de la dernière campagne n'a pas épargné les cultures de protéagineux. Sur des surfaces cultivées en légère hausse, à 276 000 ha contre 269 000 ha en 2015, les maladies se sont développées. Le climat très humide a favorisé l'apparition et le développement de l'ascochytose ou anthracnose du pois. La pression du botrytis a été aussi plus forte. Sur les pois d'hiver, la bactériose a particulièrement frappé et a fait des dégâts.
 
                Les protéagineux n'ont pas échappé à la pression parasitaire de l'année. Des traitements ont alors été mis en place bien que ces productions ne soient pas majoritaires dans l'assolement. Par ailleurs, l'offre n'évolue pas.
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