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LUTTE ANTICHRYSOMÈLE Les TS à la rescousse

Les producteurs réclament un meilleur recours aux traitements de semences, faute de disposer d'OGM.

Les producteurs de maïs sont passés à la vitesse supérieure pour faire évoluer la lutte contre la chrysomèle. Ils souhaitent ainsi que soit mise en place une « voie intermédiaire » de lutte obligatoire, entre celle qui concerne les zones « infestées » (comme en Europe de l'Est) et celle des zones dites « indemnes », comme en France. En effet, dans notre pays où l'insecte n'est pas installé, une zone de lutte intensive est mise en place dès qu'un individu est capturé. L'objectif est l'éradication totale, avec l'aide des rotations et des traitements adulticides. « Un dispositif très lourd économiquement, alors que nous pensons aujourd'hui que l'éradication totale n'est plus valable », dénonce Christophe Terrain, président de l'AGPM. « L'objectif est bien d'empêcher le développement de la chrysomèle, mais il nous semble qu'on peut lutter différemment en acceptant d'avoir quelques insectes présents, complète Céline Duroc, responsable environnement à l'AGPM-Orama. Il faut alors combiner les traitements de semences larvicides avec la rotation. »

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