La frontière est de moins en moins marquée entre le marché du couvert végétal et celui des semences fourragères. En effet, des variétés et espèces naviguent entre les deux usages. C’est le cas, par exemple, du trèfle incarnat. Il est donc complexe d’avoir une approche précise du marché du couvert. Et la marge de manœuvre est encore importante sur le terrain. D’autant que ce marché s’organise et se structure peu à peu autour d’usages se diversifiant toujours plus. Les orientations prises avec la HVE, le biocontrôle et, plus largement, la recherche de solutions alternatives aux phytos offrent des pistes d’avenir intéressantes, ainsi que le stockage du CO2.
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Couverts végétaux Une offre multiple et plus structurée
Si le marché du couvert végétal est difficile à estimer, il porte toutefois des offres toujours plus étoffées pour répondre à des usages diversifiés et à une marge de progrès qui semble encore importante sur le terrain.
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