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EPI : mieux vaut prévenir que guérir !

Les EPI, pourtant indispensables, sont encore trop peu portés par les agriculteurs. Une campagne de prévention nationale a été lancée à leur intention.

Au cours de ces dernières années, les cartes ont largement été rebattues dans le secteur des EPI. L’avis de la DGAL de 2016 a établi de nouvelles préconisations beaucoup plus précises sur le port des EPI en fonction du produit et de la situation, et de nouvelles normes ont amené au développement d’équipements de nouvelle génération. « La France est sûrement le pays le plus en avance sur ce sujet, il y a une dynamique qui n’existe pas dans d’autres pays », s’enthousiasme Julien Durand-Réville, responsable santé de l’UIPP. Fin 2017, l’UIPP a lancé un guide d’étiquetage volontaire pour l’homogénéisation des étiquettes des produits phytosanitaires et créé un tableau synthétique, à faire figurer sur les étiquettes des produits, permettant à l’utilisateur d’identifier facilement les EPI à utiliser en fonction du produit et de la situation (voir p. 19 l’exemple pour un fongicide céréales). Fin 2019, ces tableaux figuraient sur 90 % des produits phytos.

Trois EPI clés

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