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Le conseil privé, so british !

En Écosse, comme pour l’ensemble du Royaume-Uni, les exploitations agricoles sont étendues et peu diversifiées, et les agriculteurs très individualistes à la recherche de la moindre économie.
En Écosse, comme pour l’ensemble du Royaume-Uni, les exploitations agricoles sont étendues et peu diversifiées, et les agriculteurs très individualistes à la recherche de la moindre économie. © C. DEQUIDT

Au Royaume-Uni, pas de loi sur la séparation de la vente et du conseil, mais une concurrence féroce qui a redessiné le paysage de la distribution agricole. D’un côté, un conseil privé puissant incarné par des agronomes comme Allen Scobie, de l’autre, des distributeurs agricoles acculés sur la vente d’intrants mais qui s’adaptent, tels Crop Services Scotland.

La distribution agricole outre-Manche présente une organisation et une réalité différentes de son homologue française. Cela est dû à des différences de structures d’exploitation et de mentalité : des fermes plus grandes (200 hectares de moyenne), des agriculteurs très individualistes avec peu ou aucune fidélité, pas de Cuma et surtout une recherche de la moindre économie. Les exploitations sont très peu diversifiées dans les énergies renouvelables ou autres sources de revenu hors agriculture et dont l’une des principales difficultés est la lutte contre les résistances, bien plus qu’en France.

Un tournant majeur

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