« Avec l'augmentation de notre activité, 50 000 q en trois ans et le développement des livraisons directes, nous nous sommes heurtés à des problèmes d'organisation. Ils ont été amplifiés par la moisson de 2008 qui a commencé le 4 juillet pour se terminer le 29 septembre », explique Patrick Aps, le directeur général adjoint de Cap Seine, à Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime). Outre le marché des agriculteurs, la coopérative normande vend également plus de la moitié de sa production de semences, essentiellement des céréales, vers le réseau Semex (Semences de France). Résultat : des stations de semences saturées et des adhérents livrés en retard. « Début 2009, nous avons décidé de revoir notre organisation en créant des groupes de travail chargés de faire l'état des lieux et de proposer des améliorations », rappelle Patrick Aps.
Contenu réservé
Cap Seine réorganise sa filière semences
Avec une offre commerciale simplifiée, la coopérative Cap Seine veut réduire les coûts logistiques et veiller au respect des délais de livraison.
660
Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
20 %
Vous avez lu 20 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)

- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue