« Après la fermeture de 30 % de nos sites de collecte, les échanges pour compte avec les coopératives voisines nous permettent d'éviter les doublons et de réduire les coûts, explique Luc Pamart, le directeur général de Cap Seine. Nous travaillons avec des entreprises qui sont aussi nos partenaires au sein de l'union Terres de France. » Après un essai concluant en 2006 avec un silo, la coopérative haut-Normande a élargi depuis 2007 cette pratique à une soixantaine de sites de collecte avec neuf partenaires : Noriap, Sevépi, Interface céréales, la coopérative agricole de Louviers-Quittebeuf (Calq), la coopérative de blé de Luneray, CapaFrance, Scael, Agrial et le négoce Letico (filiale de Cap Seine). « Cette formule permet d'équilibrer les stockages d'une coopérative à l'autre tout en gardant la proximité avec les agriculteurs », ajoute Antoine Cocagne, le président de Cap Seine. Elle a également d'autres avantages : des économies de personnel avec parallèlement des silos ouverts plus longtemps, une qualité améliorée par moins de stockage extérieur, une mise en lot facilitée en particulier pour les clients communs, et l'organisation de sites dédiés par production. C'est aussi une solution de remplacement pour les silos enfin de vie qui nécessitent une mise aux normes coûteuse.
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Cap Seine développe la collecte pour compte
Avec neuf entreprises partenaires, Cap Seine a développé depuis trois ans les livraisons pour compte des productions végétales.
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