En 2020, 1 000 méthaniseurs. C'est l'objectif des ministères de l'Agriculture et de l'Environnement, au travers du plan EMAA (Energie, méthanisation, autonomie, azote) pour le développement de la méthanisation agricole. Pour l'instant, seules 200 unités fonctionnent fin 2014, selon l'Ademe. Il y a donc un fort potentiel de développement dans les années à venir. Encore faut-il que le marché décolle. Depuis deux ans, il stagne à environ 55 unités par an, alors qu'il en faudrait 160 par an pour atteindre le fameux objectif. Les organismes stockeurs peuvent, eux-mêmes, porter un projet de méthanisation en apportant, notamment, leurs issues de céréales, ou bien bénéficier de la chaleur produite par un méthaniseur. Mais ils peuvent surtout accompagner les agriculteurs à monter des projets. Offrir un nouveau service, une nouvelle prestation.
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Une filière qui monte, et où les organismes stockeurs ont un rôle à jouer Accompagner un projet de méthanisation
La méthanisation agricole a un fort potentiel au regard du gisement d'effluents d'élevage ou des cultures énergétiques. Encore faut-il des acteurs capables de structurer la filière et d'accompagner des projets de plusieurs centaines de milliers, voire de millions d'euros.
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