Sans perdre de vue son coeur de métier qui est de vendre de l'aliment, le technico-commercial peut proposer à ses clients, voire à ses prospects, de nouveaux services. Les éleveurs les plus avancés, ceux qui seront là demain, sont en effet prêts à payer du moment qu'ils s'y retrouvent au point de vue économique selon le principe désormais incontournable : tout investissement doit améliorer ma productivité. La principale difficulté ne semble pas pour les fabricants d'aliments de proposer un service payant, car de nombreuses opportunités émergent, mais bien de manager leur force de vente pour qu'elle s'adapte à ce changement, en la segmentant, en mettant en oeuvre de nouveaux outils tels que la gestion des grands comptes et en faisant évoluer le système de rémunération. Voici l'un des principaux enseignements de la session de formation organisée par l'Aftaa le 10 février dernier sur le thème, "technico-commerciaux de l'alimentation animale, ce qui est en train de changer".
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Pour développer l'offre en alimentation animale Proposer des services payants
Depuis une dizaine d'années, les volumes d'aliments commercialisés décroissent globalement en France. Le fabricant d'aliments peut se positionner face à une population d'éleveurs qui évoluent, en fournissant des services complémentaires payants.
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