Pouvoir irriguer est souvent une question de survie pour les exploitations du Sud-Ouest. « Sur le nord du Gers, dans le secteur de l'Armagnacais, ce sont 8 000 à 10 000 ha qui ne peuvent pas être irrigués, car ils ne sont pas suffisamment proches de cours d'eau ou de retenues collinaires, explique Pierre Lajus, administrateur de Vivadour, référent du "projet eau" de la coopérative. Sans irrigation, les producteurs récoltent 40 à 45 q/ha de maïs, alors que leurs voisins des vallées irriguées sont à 100 q/ha, voire 140 q/ha sur les très bonnes terres. Sans eau, on perd 1 000 à 1 200 € par hectare, ce qui représente un manque à gagner de 8 à 10 M€ pour les agriculteurs et la coopérative. »
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Vivadour soutient la création de lacs collinaires

Pour aider les agriculteurs à investir dans des ressources en eau, Vivadour met en place un « guichet unique » qui prendra en charge les démarches administratives.
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