«Il s'agit de travailler sur l'autonomie du territoire, plus que sur celle des exploitations de façon individuelle, explique Bernard de Franssu, chargé de mission agro-innovation à Fermes de Figeac, ex-Sicaseli. Nous voulons mettre en relation une zone de culture capable de produire des protéines, la Limargue, et notre zone d'élevage du Ségala, qui en consomme environ 7 000 t par an. » Une démarche à « entrées multiples » qui prend en compte toutes les pistes potentielles de production de protéines.
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Fermes de Figeac, être autonome en protéines sur son territoire

Dans le Lot, Fermes de Figeac étudie différentes pistes pour réduire la dépendance de ses éleveurs aux importations de protéines, notamment de tourteaux de soja.
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