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Vivescia : réussir son couvert semi-permanent

« À l’avenir, nous allons développer les essais implantation car cette étape reste encore à améliorer », souligne Jean-Luc Forrler, chef de projet conservation des sols chez Vivescia. © C. URVOY
« À l’avenir, nous allons développer les essais implantation car cette étape reste encore à améliorer », souligne Jean-Luc Forrler, chef de projet conservation des sols chez Vivescia. © C. URVOY

Le 30 janvier, la 8e édition de la journée Innovation agronomique de Vivescia a été l’occasion de faire un focus sur les couverts semi-permanents.

L’objectif d’un couvert semi-permanent (CSP) est d’être suffisamment couvrant pour limiter le développement des adventices, de restructurer le sol, d’améliorer sa fertilité, voire de stocker du carbone. « Nous avons opté pour des CSP semés dans le colza et détruits en plein tallage du blé suivant pour libérer de l’azote pendant la montaison », précise Jean-Luc Forrler, chef de projet conservation des sols chez Vivescia.

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