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MATHIEU WALTER ET MATTHIEU LUTHIER, AU COMPTOIR AGRICOLE « Un enjeu de réactivité »

« C'est en manipulant, et en pratiquant que l'on voit ce que cela apporte, et comment s'en servir », conseille Mathieu Walter, digital manager (à gauche),aux côtés de Matthieu Luthier. M. COISNE
« C'est en manipulant, et en pratiquant que l'on voit ce que cela apporte, et comment s'en servir », conseille Mathieu Walter, digital manager (à gauche),aux côtés de Matthieu Luthier. M. COISNE

Sur la toile, on peut suivre la coopérative alsacienne avec son compte Twitter @comptoir_agri, et sur sa page Facebook. Sa présence sur les réseaux sociaux n'est pas d'hier : @comptoir_agri affiche une inscription en novembre 2011. C'est Mathieu Walter, digital manager, qui s'en occupe, en lien avec Matthieu Luthier, responsable développement et communication, qui raconte : « Mathieu a commencé à s'intéresser au sujet, et j'ai souhaité qu'on aille plus loin, car c'est un moyen de se démarquer. » L'intéressé ajoute : « Sur Twitter, on a commencé par une année d'observation. C'est un outil de communication comme un autre, il faut l'apprivoiser. » Au Comptoir, pas de processus de validation des tweets, « on définit ensemble les sujets sur lesquels on va communiquer, mais ensuite c'est une question de confiance », explique Mathieu Walter. « Pour être réactif, c'est essentiel », abonde Matthieu Luthier. Réactivité, le maître mot : « Je suis connecté pendant toutes mes heures de travail, explique Mathieu Walter. Il faut pouvoir réagir dans les quatre heures. C'est aussi ce qui le rend séduisant, sinon un site internet suffit. » On dénombrait 806 abonnés, mi-septembre, à @comptoir_agri. Sur Facebook, « quand on regarde la géolocalisation, on voit que la grande majorité des connexions proviennent de Strasbourg, ce sont des citadins. Mais les gens les plus dynamiques sont les agriculteurs du département », précise Mathieu Walter. La coopérative a lancé sur Facebook un feuilleton de l'été, Scène en germe, avec un jeu sur une couverture évolutive. « Il y avait des questions, avec des cadeaux à gagner. » Agriculteurs ou non, les participants étaient au rendez-vous. En dehors des initiatives comme celle-ci, quid des interactions ? « On a eu des prospects sur Facebook qui nous ont posé des questions pour devenir adhérent, répond Mathieu Walter. Sur Twitter,on en a un peu. On est mentionné sur un événement, ou on nous demande notre avis sur un sujet. »

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