«Il n'y a pas d'école pour être professionnel du stockage. » Cette assertion d'un chef de silo justifie en elle-même la nécessité de former cette catégorie de personnel, dont la majorité a appris sur le tas, au fil des ans. Si l'enseignement se transmet entre collègues dans une profession à forte culture orale, les fondamentaux ne sont pas forcément toujours bien divulgués. « Les entreprises peuvent donner le premier apprentissage, rapporte Renaud Laporte, chez Services Coop de France. Mais il arrive que des mauvaises idées soient transmises. » De la même façon, il y a aussi « les choses que l'on ne pense pas forcément à dire entre deux remorques, car elles sont considérées comme évidentes », selon Joël Leplâtre, dirigeant du négoce éponyme du Loiret. Ce qui peut générer un sentiment de mal-être dans la profession et expliquer, pour partie, le manque de fidélité à un métier finalement à responsabilité.
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Les débutants des métiers du silo doivent intégrer les règles de bases Inculquer le b.a.-ba du personnel de silo
Combattre les idées fausses, professionnaliser ses équipes et les motiver à rester dans l'entreprise, tels sont les enjeux pour former les agents et chefs de silos débutants au stockage et à la conservation des grains.
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