Cet automne, la France a eu une fenêtre d'ouverture à l'exportation. « Rouen était même saturé », analyse Michel Portier, DG d'Agritel. Depuis, le renforcement de l'euro face au dollar pénalise les céréales françaises face à l'offre américaine, mais aussi aux origines canadiennes et australiennes présentes sur le créneau de la qualité supérieure. Du coup, à la faveur de moindres prévisions d'expéditions sur l'Union européenne, mais aussi d'incorporation de blé dans l'alimentation animale, FranceAgriMer a relevé les estimations de stock de report de blé de 330 000 t à fin juin 2013.
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Céréales : la France souffre à l'export

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