«Le Kazakhstan tire les conséquences de son enclavement », analysait Michel Ferret, chef du service des marchés et filières à FranceAgriMer, lors du dernier conseil spécialisé céréales de l'établissement. Souffrant, pour se rendre sur les ports d'exportation de la mer Noire, de sa dépendance avec l'Ukraine et la Russie « qui perçoivent une dîme pour faire transiter ses céréales » et qui saturent prioritairement le trafic, le Kazakhstan se prend en main. L'idée : utiliser l'argent du pétrole pour organiser le transport de céréales. Les autorités kazakhes envisagent ainsi d'introduire une subvention au transport de 20 €/t pour 1,4 Mt de céréales, sur la base d'une allocation de 5 milliards de tengues (la monnaie locale), afin de favoriser le transit des céréales vers l'Europe et le Maghreb par la mer Noire.
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Le Kazakhstan au-delà des steppes
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