Contenu réservé

La dinde ne veut pas être le dindon des hypers

Les prix élevés des matières premières et de l'énergie ont pesé sur la filière dinde fin 2012 et début 2013. La hausse des coûts de production n'a pas été intégralement répercutée sur les prix à la consommation, fragilisant tous les maillons de la filière. Les professionnels dénoncent de surcroît une pratique des GMS (grandes et moyennes surfaces) qui accentue son effet. L'Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires a en effet mis en évidence que le rayon volailles de la GMS est le plus rentable des rayons alimentaires frais avec une marge nette de 5,9 %. La marge brute de la distribution pour l'escalope de dinde représente environ 42 % du prix de détail, contre 30 % pour le filet de poulet, un avantage concurrentiel net pour le poulet.

217

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
62 %

Vous avez lu 62 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue
Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre