«Pas mieux qu'une année moyenne. » C'est en substance le qualificatif donné par FranceAgriMer à la récolte céréalière à venir, qui s'annonçait encore bonne il y a quelques mois. Surtout, le 11 mai dernier, le directeur de l'animation des filières pour l'établissement public, Christian Vanier, admettait que les quinze prochains jours allaient être déterminants pour l'impact sur le rendement, présumant l'arrivée de phénomènes irréversibles au stade du remplissage des grains.
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Le blé français fauché dans son élan
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