« C'est la réglementation de ces dernières années qui a le plus touché le métier », résume Emmanuel Perdrix, responsable qualité chez Soufflet Agriculture. Entre les nouvelles exigences concernant la préconisation, les certificats individuels ou encore le stockage, l'obtention de l'agrément phytos aura demandé un travail considérable. Mi-novembre, le ministère de l'Agriculture assurait que, d'après leur base de données interne, 21 000 entreprises étaient agréées, sur les 21 800 initialement concernées (17 900 dans l'ancien dispositif). Parmi elles, la quasi-totalité des coopératives et négoces a été auditée avec succès. Avec la volonté de ne pas subir ces nouvelles règles, mais de s'en saisir pour en retirer les aspects positifs.

Premier octobre 2013 : la date butoir pour obtenir la certification phytos est arrivée. La quasi-totalité des coopératives et négoces ont passé l'épreuve avec brio, après des mois de travail, et continueront à conseiller et délivrer des produits phytosanitaires. Prochaine étape : l'audit de suivi, dans dix-huit mois.
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