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Qualité de l'eau Coops et négoces se mouillent

La croisade pour la reconquête de la qualité de l'eau est lancée dans les campagnes. De la préconisation sur la fertilisation et la prévention des pollutions ponctuelles, à la gestion d'un bassin d'alimentation de captage, coopératives et négoces ont leur place.

L'expression « mieux vaut prévenir que guérir » pourrait résumer en quelques mots les conclusions du rapport de la Cour des comptes du 11 février 2010 sur le financement de la gestion durable de l'eau. Il pointe en effet du doigt un modèle français curatif près de 2,5 fois plus coûteux que le préventif. Le Commissariat général au développement durable sortait des chiffres éloquents en septembre 2011 : « Le coût complet du traitement de ces excédents d'agriculture et d'élevage dissous dans l'eau serait supérieur à 54 Mds€ par an. » Soit 800 à 2 400 €/an/ha en agriculture conventionnelle pour potabiliser l'eau dans les aires d'alimentation de captage (AAC). Résultat la tendance est au durcissement de la réglementation. La mise en place des plans d'actions sur les AAC avance doucement mais sûrement (voir ci-contre). Et les financements se multiplient, fixés en janvier par le dixième programme des agences de l'eau pour 2013-2018.

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