Les ventes en circuits courts représentent actuellement entre 1 à 3 % du marché alimentaire. Le cabinet d'études Xerfi les chiffre à 2,5 milliards d'euros en 2010, soit environ 1,5 % de la consommation alimentaire des ménages en France. Le « plan d'action pour développer les circuits courts » de Michel Barnier, en avril 2009, définit le circuit court comme un mode de commercialisation des produits agricoles qui s'exerce soit par la vente directe du producteur au consommateur, soit par la vente indirecte à condition qu'il n'y ait qu'un seul intermédiaire.
Entre développement de points de vente et mise en oeuvre de nouveaux projets, la distribution agricole, notamment la coopération, se positionne dans les circuits courts. Et ce, pour répondre en partie à une demande des agriculteurs dont certains vont jusqu'à créer des coopératives dédiées au manger local.
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