En France, près de 500 entreprises collectent chaque année 90 % des céréales. D’après Intercéréales, deux tiers des volumes sont captés par les coopératives, le reste par les négoces. Ces organismes stockeurs génèrent un chiffre d’affaires de 26 Mds€ et emploient près de 44 000 ETP.
À la baisse des volumes collectés s’ajoutent des difficultés structurelles : un débit de récolte de plus en plus rapide, des installations de stockage désuètes et surdimensionnées, des créneaux de ventilation naturelle restreints par le réchauffement climatique, des contraintes réglementaires… Le tout dans un contexte économique incertain, marqué par des marchés trop peu rémunérateurs. Ces difficultés pèsent sur la rentabilité des organismes stockeurs. Dans un objectif de regain de leur compétitivité, trois pistes sont ici explorées : la modernisation des infrastructures, la digitalisation des procédés et des flux ainsi que la mutualisation des outils et des moyens.
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