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Les malteurs français dans une mauvaise passe

Des arrêts temporaires de certaines unités françaises devraient vraisemblablement survenir à partir de mai. © J.-C. GRELIER
Des arrêts temporaires de certaines unités françaises devraient vraisemblablement survenir à partir de mai. © J.-C. GRELIER

Confrontés à un marché de la bière en recul de l’ordre de 35 %, les trois principaux malteurs français, que nous avons interrogés, sont contraints de réduire leur activité, voire de fermer temporairement certaines unités.

Depuis la mi-mars en France, avec la fermeture des cafés et restaurants, le report des grands évènements sportifs et culturels, l’arrêt du tourisme, le secteur de la brasserie s’est vu privé de 35 % de ses débouchés du jour au lendemain, les ventes dans les commerces alimentaires (65 % des débouchés) semblant en revanche préservées.

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