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Haro sur les variétés issues de la mutagenèse

Selon l’Anses, les variétés VTH concernent 2 à 5 % des surfaces de colza et 20 à 30 % des surfaces de tournesol. © J.-M. NOSSANT
Selon l’Anses, les variétés VTH concernent 2 à 5 % des surfaces de colza et 20 à 30 % des surfaces de tournesol. © J.-M. NOSSANT

Selon un avis du Conseil d’État, les variétés obtenues au moyen de mutagenèse depuis 2001 doivent désormais être soumises aux obligations imposées aux OGM. La filière semencière française s’indigne contre ce frein à l’innovation.

Dans un avis du 7 février, le Conseil d’État juge que « les organismes obtenus au moyen des techniques de mutagenèse qui sont apparues ou se sont principalement développées depuis l’adoption de la directive de 2001 doivent être soumis aux obligations imposées aux OGM par cette directive », qu’il s’agisse de mutagenèse dirigée ou mutagenèse aléatoire in vitro. « Les variétés obtenues au moyen de techniques plus anciennes, dont la sécurité est avérée depuis longtemps, ne sont pas soumises à ces obligations. »

De possibles retraits de variétés

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